jeudi 7 février 2008

Trouver l'amorce d'un répit, la contemplation des nuages.To find the starter of a respite, the contemplation of the clouds.




Méditer avec la contemplation des nuages, c'est, dans la vague du chagrin qui vous submerge, trouver un point infinitésimal qui ouvre une solution positive. Lorsque vous êtes noyé (e) dans vos larmes, et sans aucun repos ; les chamans vous proposent cette méditation. C'est une amorce positive qu'il faut apprendre à créer pour aller vers un espace autre, différent.
Le Chaman me disait, vous créez un espace où le chagrin n'existe pas et vous allez dedans. C'est une méditation où vous allez utiliser votre imagination créative pour inventer un espace de joie ; vous reconsidérez autrement les émotions qui provoquent votre chagrin. Vos émotions sont contenues dans un assemblage magique qui ressemble à un tissu qui vous blesse, il vous étouffe.
Pour cette méditation vous allez vous assoir au centre de votre coeur. Considérez que votre coeur est éclairé de l'intérieur par une lueur semblable à celle d'une lune nocturne et voilée. C'est comme un brouillard qui est là.
Concentrez-vous sur votre respiration et sur le battement de votre coeur et respirez au même rythme. Pour vous aider, posez votre main sur votre coeur. Simplement, vous inspirez profondément et vous expirez de même. C'est après une dizaine de respirations que vous posez un silence entre votre expire et votre inspire. C'est dans ce silence que vous allez vous assoir, c'est un point infinitésimal d'une lumière intense et radiante.
Doucement, faites grandir ce point qui est l'aube d'un Soleil radiant. Dès que vous allez vous assoir au centre de ce Soleil qui est dans votre coeur, vos émotions perdent automatiquement de la force. Vous êtes dedans, dans ce Soleil tellement éblouissant que vous ne le voyez pas.
Tournez votre regard sur le tissu nuageux de vos émotions.

Assis dans ce Soleil, posez une distance entre vous et la masse opaque de votre chagrin. Continuez de respirer profondément pour allonger la distance entre vous et les nuages, c'est pour les contempler de haut. C'est alors que vous êtes l'aigle magique et le battement de votre coeur rythme le battement de vos ailes. C'est comme un vent qui va pousser au loin, de plus en plus loin ce nuage qui dissout sa trame jusqu'à n'être plus qu'un fin brouillard inconsistant.

Pour un accompagnement sonore, j'ai composé "In the Light" 
__._,_.___To meditate with the contemplation of the clouds, it is, in the vagueness of the sorrow which submerges you, to find a point infinitesimal which opens a positive solution. When you are drowned in your tears, and without any rest; the Shamans propose this meditation to you. It is a positive starter which it is necessary to learn how to create to go towards a different space, different.
The Shaman said to me, you create a space where sorrow does not exist and you go inside.
It is a meditation where you go use your creative imagination to invent a space of joy; you differently reconsider the emotions which cause your sorrow.
Your emotions are contained in a magic assembly which resembles a fabric which wounds you, it chokes you. For this meditation you will sit down in the center of your heart.
Consider that your heart is enlightened interior by a gleam similar to that of the night and buckled moon. It is as a fog which is there. You concentrate on your breathing and the beat of your heart and breathe at the same rate/rhythm. To help you, pose your hand on your heart. Simply, you inspire deeply and you expire in the same way. It is after ten breathings that you pose a silence between your expires and your inspires. It is in this silence that you will sit down, it is an infinitesimal point of an intense and radiant light. Gently, make grow this point which is the paddle of a radiant Sun. As soon as you will sit down in the center of this Sun which is in your heart, your emotions lose force automatically. You are inside, in this Sun so much dazzling that you do not see it. Turn your glance on cloudy fabric of your emotions. Sat in this Sun, pose a distance between you and the opaque mass of your sorrow. Continue to breathe deeply to lengthen the distance between you and the clouds, it is to contemplate them top. At this point in time you are the magic eagle and the beat of your heart rate/rhythm the beat of your wings. It is as a wind which will push with far, more and more far this cloud which does not dissolve its screen until not being any more but one fine soft fog.


For a sound ambiance I composed "In the Light"