Quatrième pas, quatrième porte :
L’Air et la compassion
L’Esprit de l’Air concerne la respiration et la vie. Il protège aussi celui qui devient libre de la Vieillesse. Libéré aussi d’un retour par une nouvelle naissance, il rejoint l’énergie qui depuis l’origine anime le vivant.
La connaissance dissout l’ignorance ; les traditions anciennes parlent des trois mondes où une âme déambule : l’Enfer et les Ténèbres, ce qui est en bas ; le purgatoire, et sa grisaille d’un jour de brume : le monde du milieu ; le paradis, le soleil, et les états angéliques des mondes du haut.
D’autres descriptions vous placent au centre d’un ensemble sphérique où s’interfèrent ce qui interagit avec l’Élément Terre, l’Élément Eau et l’Élément Feu : trois espaces, en interactivité avec l’Élément Air.
La vie ici est liée à l’Élément Air, mais elle reste soumise à la gravitation et l’Élément Terre. Cet air précieux et indispensable n’existerait pas sans l’alchimie de l’océan et du végétal. L’Élément Air offre la sagesse de l’élévation et une vision plus ample. Vous comprenez l’origine à la racine de toutes les existences. Le silence et la compassion vous ouvrent à l’ultime liberté : vous accédez au cercle ultime pour les vivants : le Centre.
Cela ne vous permet pas de vous remplir d’orgueil, ni de fonder une nouvelle religion.
Vous n’apercevez qu’un fragment d’une immensité incommensurable.
Semblable au grain de sable infime élément d’un rivage ; ici, votre minuscule particule de lumière devient immense par association avec vos semblables.
Lumière dans la lumière vous demeurez.
Ici pas de sentiment : rien si ce n’est la puissance des milliards d’années-lumière en plénitude.
L’air devient l’espace qui s’étale depuis son origine et vous êtes dedans.
Maintenant, observez toutes les circonstances de votre vie, avec le regard de l’aigle. Certes, l’attachement à votre corps vous contraint. Des circonstances pénibles et difficiles de la vie vous égratignent.
La connaissance dissout l’ignorance ; les traditions anciennes parlent des trois mondes où une âme déambule : l’Enfer et les Ténèbres, ce qui est en bas ; le purgatoire, et sa grisaille d’un jour de brume : le monde du milieu ; le paradis, le soleil, et les états angéliques des mondes du haut.
D’autres descriptions vous placent au centre d’un ensemble sphérique où s’interfèrent ce qui interagit avec l’Élément Terre, l’Élément Eau et l’Élément Feu : trois espaces, en interactivité avec l’Élément Air.
La vie ici est liée à l’Élément Air, mais elle reste soumise à la gravitation et l’Élément Terre. Cet air précieux et indispensable n’existerait pas sans l’alchimie de l’océan et du végétal. L’Élément Air offre la sagesse de l’élévation et une vision plus ample. Vous comprenez l’origine à la racine de toutes les existences. Le silence et la compassion vous ouvrent à l’ultime liberté : vous accédez au cercle ultime pour les vivants : le Centre.
Cela ne vous permet pas de vous remplir d’orgueil, ni de fonder une nouvelle religion.
Vous n’apercevez qu’un fragment d’une immensité incommensurable.
Semblable au grain de sable infime élément d’un rivage ; ici, votre minuscule particule de lumière devient immense par association avec vos semblables.
Lumière dans la lumière vous demeurez.
Ici pas de sentiment : rien si ce n’est la puissance des milliards d’années-lumière en plénitude.
L’air devient l’espace qui s’étale depuis son origine et vous êtes dedans.
Maintenant, observez toutes les circonstances de votre vie, avec le regard de l’aigle. Certes, l’attachement à votre corps vous contraint. Des circonstances pénibles et difficiles de la vie vous égratignent.
Trouvez la bonne méthode, utilisez-la pour devenir seulement silence et votre métamorphose sera définitive.
Lors de sa conférence du 17 mai 1989, Alejandro Jodorowski déclara : « Si je fais un pas avec toute la force du sol, toute la force de la nature, je suis dans ce monde : tous les mouvements mécaniques disparaissent. On spiritualise la matière, on matérialise l’Esprit. »
Lors de sa conférence du 17 mai 1989, Alejandro Jodorowski déclara : « Si je fais un pas avec toute la force du sol, toute la force de la nature, je suis dans ce monde : tous les mouvements mécaniques disparaissent. On spiritualise la matière, on matérialise l’Esprit. »