Joska Soos Métaphore de la Grande Déesse
C’est ainsi qu’ils en parlent, nous serions condamnés à l’errance sans fin, prisonniers dans les labyrinthes d’un éternel retour.
C’est alors que je n’oublie pas ceux qui inlassablement nous font souvenir de l’insatiable avidité dans ses prisons du bas astral.
Une guerre et son cortège monstrueux d’horreurs.
Ses odeurs en sueur de terreur, et les larmes d’une mère devant les cadavres mutilés de ses enfants.
Dans la désespérance d’une prière impuissante,
ce seul pouvoir agir que jamais ils ne détruiront,
votre prière du coeur qui s’étale,
puis s’élève vers le créateur,
vers cette étincelle du commencement originel.
Aucun dieu, aucune divinité ne demande les horreurs d’une guerre.
Un aveuglement stérile emporte le prisonnier d’une ignorance avide.
Mais, vous avez un pouvoir, créer un rêve, créer une sphère de lumière d’amour.
Contemplez cette image : l’incroyable patience de ce poisson qui sans arrêt parachève ce nid pour accueillir sa compagne et ses œufs en devenir de sa continuité.
Joska Soos drum and singing bowls