Le 15° du Taureau, apogée du printemps où La Nature explose en parfums, promesse des récoltes de fruits ; et toujours la patience. Le printemps enfante la continuité du vivant. Dans la roue des saisons, il est à l’est. Avec le 15° du Lyon, l’été est au sud ; avec le 15° du Scorpion, l’automne est à l’ouest, et l’hiver avec le 15° du Verseau est au nord.
Les chamans célèbrent l’apogée du printemps avec la danse de l’ours. Un pas lourd balancé d’un pied à l’autre qui frappe fort le sol. Lentement ils tournent en chantant la vibration du son premier ; yeux mi-clos ils respirent et s’enivrent de parfums. Comme une coulée de miel les arbres embaument.
Le premier geste de la naissance, c’est de respirer. Mentalement retrouvez l’intensité du désir : respirer, vivre comme une fleur s’ouvre et capture la lumière. 15° du Taureau la puissance de la vie demande la patience, 15° du Scorpion la puissance de la mort demande de muer. La vieille peau tombe en poussière et la vie entre en renaissance pour éclore en puissance à l’apogée du printemps. De vie en vie, la spirale de l’Univers se déploie. L’ADN en ruban se prolonge sans césure. Mais, attention, ils ont inventé le ciseau qui la fragmente pour injecter une soi-disant protection. Attention à ce futur embryon d’humain OGM. Une rupture par la main de l’homme dans la continuité de la création qui dénie l’origine parfaite de la vie et la mort. Une modification dans cette continuité ne permet pas de retour. Le corps se délite avec la mort et il y a un envol, un retour à l'originel. Apercevoir la racine de cette origine est le fruit de la patience et du silence. Les chamans qui l’obtiennent, saisis de tremblements et de larmes, s’inclinent. Castaneda l’aperçu et le nomma « le moule de l’homme » ; Moïse trembla devant le buisson ardent, instantanément il su et s’inclina. Nous sommes génétiquement la continuité de cette incommensurable merveille.
Déjà l’homme intervient, il souille l’air, l’eau, la terre qu’il ne reconnait pas et fabrique des OGM au gré de son soi-disant pouvoir. Les chamans savent qu’une épaisse couche de nuages obscures nous isolent et nous enferment dans la pire des prisons de l’ignorance. L’implacable loi des conséquences agit en miroir de nos erreurs.
Déjà il y a contestation de sa découverte. Ce qui n'invalide pas sa recherche. Vrai ou faux peu importe, qu'il soit allé jusqu'au bout de son raisonnement est en soit déjà extraordinaire.
William Gadoury, 15 ans vient de découvrir la 4e plus importante cité maya, oubliée dans une jungle épaisse. Sa découverte extraordinaire est le fruit de son intelligence, son sens aigu de l’observation et sa patience. Passionné par la civilisation Maya, et leur cosmogonie, une lecture du Codex Maya lui permet de comprendre la relation entre les 22 constellations mayas et les lieux choisis pour construire leurs cités. L’emplacement des 117 cités mayas est en miroir du ciel et des formes dessinées par ces constellations. William Gadoury découvre l’existence d’une 23e constellation qui contient trois étoiles, mais seulement deux cités en correspondances. Il détermine qu’il manque une troisième cité, c’est à dire la 118e. Des analyses faites par satellites vont révéler une pyramide à cet emplacement et une trentaine de bâtiments. William Gadoury nomme cette cité perdue K’ÀAK’ CHI’ «Bouche de feu».
Patiemment, sur une carte Google Earth, avec des transparents, il a relié les étoiles de ces constellations et comprit leurs correspondances avec l’emplacement des cités mayas. 142 étoiles correspondent à 117 cités mayas. Les étoiles les plus brillantes représentent les plus importantes cités. Sa méthode fonctionne avec les civilisations aztèques, incas et harapa en Inde. Mais il trouve dans un livre une 23e constellation. En reliant ses trois étoiles, il voit qu’il manque une cité maya sur la carte.
«Je ne comprenais pas pourquoi les Mayas avaient construit leurs cités loin des rivières, sur des terres peu fertiles et dans les montagnes. Il fallait qu’il y ait une autre raison, et comme ils adoraient les étoiles, l’idée m’est venue de vérifier mon hypothèse. J’ai vraiment été surpris et excité quand je me suis rendu compte que les étoiles les plus brillantes des constellations correspondaient aux plus grandes villes mayas».
Une immense cité maya découverte sous la jungle au nord du Guatemala
Découverte d'une Cité Maya
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