jeudi 15 décembre 2022

Imaginez l’arbre de vos souhaits

 



Pour le plus grand bien de tous les êtres 


Il y a maintenant plus de 2600 ans, le Bouddha souhaita profondément comprendre l’origine de la souffrance.

Sa légende raconte qu’il entra dans une méditation profonde nommée Profonde Luminosité ; et au même instant le Sublime Grand Être, le Bodhisattva Avalokiteshvara qui contemplait dans sa plénitude la Profonde Connaissance Transcendante vit que les cinq agrégats sont vides de toutes essences. 

Il déclara : « Les formes sont vides ; la vacuité n’est pas différente des formes ; les formes sont vacuités. Il en est ainsi pour les sensations, les représentations karmiques et les consciences sont vides. En conséquence, tous les phénomènes sont vacuité. »

Et il énonça le Soutra du Cœur de la Profonde Connaissance Transcendante qui élimine toutes les souffrances. 

Il ne reste que deux semaines avant le nouvel an 2023, utilisez un calendrier pour chaque jour, chaque matin écrire ce que vous ne souhaitez pas …..et puis, sur une autre feuille, écrire ce que vous souhaitez pour vous, pour ceux que vous aimez……et….selon votre cœur.

Imaginez l’arbre de vos souhaits ; accrochez à ses branches tous vos désirs de futur.

               

                 Accompagnez l’énergie de cette année qui vient.

                   Je vous souhaite tous les bonheurs possibles






vendredi 23 septembre 2022

La mécanique des miroirs










Image sublimée du Grand Être Avalokitesvara



De vivre, de respirer nous inclus dans un monde fabriqué par le tissage de nos désirs qui s’entrechoquent. 

De vivre nous oblige à être dedans, mais nous permet aussi de nous extraire, et en même temps vous avez la liberté de choisir, avant d’agir.

 Le chaman me disait : « laissez penser, laissez agir, entrez dans le réel ».

Cette Terre est une structure en étage, mais nous ne savons pas de combien d’étage, et où nous sommes réellement.

Seule la trame de notre quotidien nous permet de savoir si ce monde est seulement souffrance ou bien en parenthèse de bonheur. 

Ici, tous nous sommes inclus dans un prisme en miroir.

Un miroir sans arrêt pose un filtre entre « moi » et le réel. 

Un miroir en opacité, mais aussi en transparence.

Sa permabilité permet de respirer à travers la perception floutée du là où nous sommes.

L’autre, nous le voyons en grisaille, et séparé par un lointain extensible dans une structure en nid d’abeilles.

Cet assemblage nous place dans le réel du temps, même si nous avons le sentiment d’en être séparé. 

Utilisez l’énergie de l’Équinoxe d’automne qui pose une parenthèse en équilibre

où pour et contre s’annulent. 

Ressentez votre appartenance, commencez par assouplir la texture jusqu’à voir sa transparence. 

Dans le sommeil, un corps qui dort est là où il dort : le corps de rêve, est dans les images de son rêve.

Votre conscience d’exister dort ou bien elle accompagne les images du rêve. 

Elle accompagne aussi un fragment de lucidité entre le sommeil et le rêve.

Entrez dans Être, un gigantesque espace, libre des images fascinantes du rêve, libre aussi de l’enferment dans un corps soumis à sa respiration.

Déjà, nous devons impérativement rester modeste. 

Impossible de savoir si nous avons brisé le miroir, impossible de savoir si cette brisure dans le rêve ne s’ouvre pas dans un autre rêve, puis un autre….

Et ce bruit terrifiant qui nous emporte au-delà de la prison du corps, nous ligature dans sa mort.

Ceux qui reviennent, hors de la prison épaisse d’un rêve fascinant, obtiennent la liberté d’aller, et de traverser ce prisme qui nous contient : il est souple et perméable puisque nous respirons.

L’air entre dedans, le traverse, se renouvelle et nous respirons.

Maintenant, dans ce point d’équilibre du fléau de la balance, l’air devient le plus précieux de vos alliés.

Entrez dans la respiration, seulement attentif à respirer.

Devenez seulement respirez.





jeudi 11 août 2022

Le point du non retour ?





 


Prenez douze pierres pour matérialiser une roue de médecine.

Allongez-vous au plus près du centre de votre roue. 

Fermez les yeux ; visualisez la flamme d’un feu qui s’élève. 

Respirez paisiblement, vous êtes allongé sur la surface de la Terre.

Soyez conscient de votre présence, ici. 

Mentalement, restez allongé avec le sentiment de flotter à la surface de la sphère terrestre. 

Doucement, continuez de vous élever, jusqu’à vous assoir quelque part, mais suffisamment haut pour voir la sphère terrestre, 

ses continents, ses océans. 

Respirez doucement dans l’immense tranquillité de l’espace. 

Inspirez doucement par le nez, absorbez l’espace ; 

l’espace est en vous aussi. 

N’ayez pas peur de ce qui vient, de ce soleil immense qui vous happe ; laissez venir.
Si vous n’avez jamais construit une Roue de Médecine, utilisez l’image des roues de Bruniquel. 

Matérialisez chacune de ses huit directions cardinales avec une petite pierre. 

Les roues de Bruniquel découvertes récemment, ne sont pas seulement une image : elles sont aussi une mémoire.

Vous pourriez aussi vous inspirez de celle créée par ce mystérieux petit poisson.

Je me souviens d’un rêve où un grand poisson, 

une baleine bleue me parlait, et en même temps elle me montrait qu’elle ne pouvait plus respirer dans une eau souillée de déchets plastiques.

La vie est venue par l’océan,

il pourrait la reprendre si l’air devient irrespirable. 

Ce point du non retour que nous ne savons pas.

C’est pourquoi, aveuglés de haine, de colère et d’avidité, ils continuent de faire exploser leurs bombes, et la mort.

La vie nous est donnée certainement pas pour satisfaire le caprice d’une colère comme celle des petits enfants.

Ils brisent leurs jouets en imaginant qu’ils ont ce pouvoir d’imposer la mort.

Il n’y a que le silence pour anéantir les poisons d’un mental prisonnier de sa stupidité.

Déjà, la Comtesse de Ségur racontait les exploits du général Dourakine, 

un russe victime de sa courte vue, 

assis sur la branche qu'il est en train de scier.

Combien de vie subiront la famine jusqu’à en mourir.

Combien de morts rongées par les souffrances des cancers impossibles à guérir.

Combien de revenir seulement pour subir la rétribution de nos actes.

mardi 12 juillet 2022

Être ou bien avoir



Image du Shaman Joska Soos né dans le Clan hongrois des Baksa




La question être ou bien avoir revient en boucle, maintenant que le nombre et la quantité imposent de réfléchir.

Notre planète est une sphère dont les dimensions ne sont pas extensibles.

Et puis les terres émergées, elles aussi, imposent un territoire ou tous nous allons devoir cohabiter.

En conséquence, l'horizontalité sera saturée, et la verticalité vers le haut ou bien vers le bas, elle aussi sera limitée.

L’évidence limite « avoir » alors que « être » est sans limite, depuis son origine.

Nous allons tous devoir explorer le sans frontières de « être ».

En utilisant « être » nous pouvons grandir, nous mutiplier à l’infini, et jamais en nuisance d’un autre, et même de plusieurs.

Une verticalité apparait en miroir inversée de sa profondeur.

Maintenant, nous sommes tous quelque part entre hier et demain.

Nos livres d’Histoire nous racontent « hier » de guerres en paix, dans une boucle qui souhaiterait devenir spirale en expension, mais se condamne dans un avant et un après en miroir qui étouffe tous les germes d’un devenir possible.

Utiliser le pouvoir du rêve, non pas pour augmenter « avoir », mais pour vous aventurer dans « être ».

L’été est la saison la plus propice pour commencer ce voyage sans limite.






dimanche 12 juin 2022

Solstice d'été

 Avec le Solstice d’été, l’apogée du Soleil et l’absolu de La Lumière


L’Esprit du feu, est régent de la puissance des Lumières : maintenant vous êtes confrontés à la clarté.

Elle peut s’inverser et permuter en aveuglement orgueilleux.

Ce feu des profondeurs qui reçoit l’initié, consume les résidus de la petite personne : 

elle se dénude jusqu’à l’os.

Ils disent : la chair quitte les os.

Ce qui reste de vous devient autre chose.

Kundalini se présente devant votre Chakra racine.

Elle devient rivière de feu.

Vous avez l’impression d’être assis sur un feu vivant.

Une raideur vous fige et vous immobilise.

Sa rivière de feu inonde votre Chakra racine.

Kundalini entre en vous, lentement elle s’élève au centre de votre colonne vertébrale.

Kundalini très doucement inonde votre colonne vertébrale, et tous vos Chakras un à un.

De votre Chakra Racine à votre Chakra de la Couronne son feu se répand. Il coule des profondeurs mais en inversé. 

Alors se révèle deux canaux qui s’entrelacent de part et d’autre de votre colonne vertébrale, à l’image d’un caducée. 

Ils s’ouvrent de part et d’autre de votre cerveau qu’ils contiennent comme le ferait un calice renversé. 

Le mystère du Graal se révèle : votre crâne métaphysique doucement s’ouvre. 

Ce processus est très lent.

Kundalini doucement s’élève dans votre dos. 

Vous avez l’impression qu'une chaleur brulante perce le centre de votre colonne vertébrale. 

Kundalini perce le centre de votre troisième œil.

Cette première fois est terrifiante.

Son feu fige votre corps, une raideur vous immobilise.

L'envahissement de Kundalini est le Maitre absolu qui valide votre métamorphose.

Vous traversez l’épreuve ultime qui vous oblige d’entrer dans l’absolue confiance : la mort ne viendra qu‘au terme de votre vie avec ce corps.

Kundalini révèle la lumière : votre nature profonde.

Lumière dans la Lumière, nous sommes tous dedans : la différence est infime, il y a ceux qui savent, et il y a ceux qui dorment dans les profondeurs du rêve.




                                       Mudra de la Force, obtenir la paix











dimanche 29 mai 2022

La vie ici dépend de l’Air, mais elle aussi soumise à la Terre et à l’Eau.




                   Bouddha d'Or peinture du Chaman Joska Soos


Les traditions anciennes parlent des trois mondes où l’âme humaine s’attarde, en défaut de pouvoir s’en libérer : l’Enfer et les Ténèbres, ce qui est en bas; le purgatoire, et sa grisaille d’un jour de brume : le monde du milieu; le paradis, le soleil, et les états angéliques des mondes du haut. 
D’autres récits vous placent au centre d’un ensemble sphérique où s’interfèrent ce qui interagit avec l’Élément Terre, l’Élément Eau et l’Élément Feu : trois espaces, en interactivité avec l’Élément Air.
La vie ici dépend de l’Air, mais elle aussi soumise à la Terre et à l’Eau. 
L’Air offre la sagesse de l’élévation. Cet air précieux, indispensable, existe par l’alchimie de l’océan et du végétal. Dans le silence de la compassion l’ultime liberté apparait : vous accédez au centre du cercle.
Ici, semblable au grain de sable, infime élément d’un rivage; votre minuscule particule de lumière devient immense par associations. 
Lumière dans la lumière vous existez. 
L’Esprit de l’Air confère une immunité face à la vieillesse.
La connaissance dissout l’ignorance ; nous avançons portés par le fleuve des milliards d’années-lumière en plénitude. L’air et l’espace s’étale depuis son origine, et vous êtes aussi dedans.
Maintenant, avec le regard de l’aigle, observez toutes les circonstances de votre vie. Certes, l’attachement à votre corps vous contraint : des circonstances pénibles et difficiles de la vie vous égratignent. Trouvez la bonne méthode, utilisez-la pour devenir seulement silence, et votre métamorphose sera définitive.
La forme qui enveloppe votre corps et le contient, s’échappe et vous quitte. Quelque chose d’intensément brûlant se présente au sommet de votre crâne. Doucement cela entre vous par la tête : lentement, l’énergie commence de vous remplir dedans et dehors.
Je me souviens, à ce moment-là, je suis entrée dans la confiance. Mon crâne se remplissait d’une chaleur intense à peine supportable. Je ressentais la présence d’une forme qui glissait doucement, et s’échappait par mes pieds, comme le ferait un vêtement trop ample, et qui tombe. L’énergie brûlante m’a rempli l’intérieur et l’extérieur du corps. Une légère rigidité me figeait, elle m’immobilisa pendant toute la durée de ce processus, très lent. Soyez sans peur, ne bougez pas, respirez le plus doucement possible.
La mort ne vient pas par hasard, elle surgit : votre enveloppe s’ouvre, et s’éparpille.
Ce processus que j’ai vécu, ce n’est pas un éparpillement, mais une substitution. Vous continuez, différemment.
Dès que la sensation de chaleur diminue, remuez doucement les extrémités de vos membres en commençant par vos doigts de pieds, poussez vos talons, expirez profondément. S’il surgit une terreur incontrôlable, stoppez le processus en douceur. Commencez de vous refroidir en buvant un peu d’eau. Lentement, essayez de vous relever pour mettre vos pieds dans une eau fraîche. Utilisez une douche pour refroidir vos cuisses, le ventre et les bras. Ne refroidissez pas le haut du corps avant l’arrêt total du processus. Pendant toute la durée de ce refroidissement volontaire, exprimez à voix haute votre faiblesse : vous avez le droit de refuser. Dites non à voix haute. Ce qui provoque cette mue s’adapte entre vos potentialités, et vos résistances. 
L’énergie de vie va et vient, décroît ou s’augmente, mais de plus en plus subtile. Le Maître chaman Joska Soos qui accompagna les phases d’ouverture de ma chrysalide disait : «hâtons-nous lentement. Laissez venir, laissez agir, ne forcez pas les circonstances. Ce travail est celui de toute une vie, vous avez le temps.»

dimanche 22 mai 2022

Numérologie

Aujourd'hui le : 22 - 05 - 2022

22 - 05 - 22 : 

L'Arcane 22  concerne la fin d'un cycle.

Le 5 est attribué à l'homme en renaissance de son futur, et l'éternel retour dans la roue sans fin des existences.

2022 - l'année du Jugement (Arcane 20 ) et le 22 représenté par Le Fou et son baluchon.

Le Fou qui semble prendre un nouveau départ sur les chemins de sa vie.

Alexandro Jodorowski nous parlait de la merveilleuse opportunité d'un éternel pardon en renaissance perpétuelle.

Le 5, c'est aussi le nombre qui désigne le mois de mai, le mois de la promesse des fleurs, celle des fruits futurs.

Aujourd'hui, une belle opportunité de renaissance. Utilisez la méthode qui vous convient pour faire une ultime récapitulation. Saisir la vie pour un nouveau départ vers votre futur.

Accompagnez la promesse des fruits. Souhaitez qu'ils soient savoureux, et délicieux.




                                          Le Chaman Joska Soos et son tambour


Le Chaman Joska Soos me disait : il n'y a de futur que dans la continuité de la vie.

Les promesses de la vie s'accouchent dans le terreau d'une continuité inexorable.

Hier enfante demain.

Utilisez le pardon pour vous libérez du poids des offenses ressenties.


lundi 25 avril 2022

On entre dans le : c’est comme ça !

Les Soleils sont des êtres immenses qui sans arrêt enfantent la Lumière.

Et nous sommes dedans,

Nous sommes enfantés par les Soleils,

Nous sommes enfantés par La Lumière.


Archie Fire Lame Deer nous parlait de SIC’UN (prononcé Sichun) le 16 ème grand Mystère de la création.

SIC’UN fait que nous avons le sentiment d’être autrement.

D’être séparés, d’être différent.

Et pourtant nous ne sommes pas ailleurs.

Nous sommes entièrement dedans.

Nous sommes dans la création, et nulle part ailleurs.

Nous sommes dedans, nous existons parce que nous sommes inclus dans la création.

Le sentiment d’être autrement, c’est SIC’UN.

Mais personne ne peut dire pourquoi.

On entre dans le : c’est comme ça!

Un marécage d’incertitude.

Le chaman me disait : Allumez une bougie, regardez sa flamme, entrez dans sa lumière. 

Utilisez l’élévation de sa lumière qui est ici, mais aussi autrement.

Regardez attentivement : cette lumière, et au centre de cette lumière, une porte.

Il me disait : « entrez, passez au-delà, allez plus loin, lumière dans la Lumière. »

Aussi longtemps que la création existe, la Lumière se matérialise, l’existant se prolonge, et vous êtes dedans.

Ce qu’ils nomment « le côté obscur » n’existe que par une référence à la lumière, et le cône d’ombre qu’elle matérialise ou bien son éblouissement surgit en contraste de l’ombre projetée.

Ils m’ont nommé Jyoty, la petite  flamme qui allume la lampe.

Il suffit de sa présence pour matérialiser La Lumière originelle du vivant.

La Lumière est dans la création, cela ressemble à un fleuve immense où chacune de ses gouttes d’eaux ne le sait pas.

Elles sont dedans, mais ne le savent pas. 

Ici, nous sommes les enfants de sa continuité, mais nous ne le savons pas. 

Aussi longtemps que la création existe, la Lumière se matérialise, l’existant se prolonge.



                                Joska Soos drum and singing bowls



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lundi 28 mars 2022

Il n’y a jamais de revenir



                            Armoiries du Chaman Hongrois Joska Soos



Il y le temps qui s’allonge en heures, en minutes, en secondes, en instants.

Et puis, il y a le temps qui se condense, se contracte jusqu’à l’infinitésimal d’un point minuscule ; mais tout est contenu dedans.

Dans ce point minuscule, les années, les siècles s’empilent comme des livres sur les étagères d’une bibliothèque.

Ils disent que nous sommes inclus dans des cycles soumis à la précession des équinoxes.

Le cycle précédent commença il y a environ 2000 ans. Ils disent qu’il a subi l’imprégnation de l’Ère des Poissons. Et maintenant, nous serions pour 2000 ans dans un faisceau d’énergie éclairé par l’Ère du Verseau.

On s’éloigne de l’influence océane des Poissons, pour se soumettre aux flux des vents, et de l’aérien. 

S’il est possible de contenir l’eau dans un récipient, l’air, le vent et son cortège sont insaisissables, et toujours au-dessus de l’eau.

La période qui s’ouvre est celle de l’imprévisible renouvellement perpétuel sans aucune fixité.

Les dernières pages des livres de l’Ère des Poissons doucement s’évanouissent dans un lointain sans retour. Les anciens disent qu’un vent soufflera en tempête pour éparpiller, disperser les résidus qui s’accrochent dans la terreur d’un inconnu qui s’anime avec l’Ère du Verseau.

Il est temps de se laisser aller, et que les vents nous soient favorables.

N’imaginez pas être seul, abandonné. Nous sommes tous inclus dans une ligne qui s’allonge depuis notre première naissance mais nous ne savons plus quand cela commença.

Utilisez la prodigieuse énergie du printemps pour entrer dans le non retour à hier.

Entrez dans ce futur inconnu, mais merveilleux.

Un puissant vent vous emporte, c’est définitif et il n’y a jamais de revenir.

Pour matérialiser cette présence aérienne, le Chaman Joska Soos conseillait de mettre un peu d’eau dans une coupe, de veiller à ce qu’il y ai toujours un peu d’eau dedans.

Il me disait : « l’Esprit est toujours au-dessus de l’eau ; insaisissable comme le vent. »

L’Esprit dont il parlait concerne l’immensité à jamais bienveillante de toutes les circonstances positives et radiantes, d’un amour immense que rien jamais ne peut contraindre.






jeudi 24 février 2022

Mircea Eliade et l’éternel retour







Joska Soos Métaphore de la Grande Déesse





C’est ainsi qu’ils en parlent, nous serions condamnés à l’errance sans fin, prisonniers dans les labyrinthes d’un éternel retour.

C’est alors que je n’oublie pas ceux qui inlassablement nous font souvenir de l’insatiable avidité dans ses prisons du bas astral. 

Une guerre et son cortège monstrueux d’horreurs. 

Ses odeurs en sueur de terreur, et les larmes d’une mère devant les cadavres mutilés de ses enfants.

Dans la désespérance d’une prière impuissante,

ce seul pouvoir agir que jamais ils ne détruiront, 

votre prière du coeur qui s’étale, 

puis s’élève vers le créateur, 

vers cette étincelle du commencement originel.

Aucun dieu, aucune divinité ne demande les horreurs d’une guerre. 

Un aveuglement stérile emporte le prisonnier d’une ignorance avide. 

Mais, vous avez un pouvoir, créer un rêve, créer une sphère de lumière d’amour.







Contemplez cette image : l’incroyable patience de ce poisson qui sans arrêt parachève ce nid pour accueillir sa compagne et ses œufs en devenir de sa continuité.








                                 Joska Soos drum and singing bowls











jeudi 3 février 2022

 15° du Verseau, l’âme en devenir


Mais pourquoi être en espérance d’un devenir de l’âme ?

L’homme est un animal qui marche debout.

Lorsqu’ils ont obtenu la verticalité, leurs mains ont commencé d’explorer un environnement proche. 

Et puis ils ont utilisé un frémissement d’intelligence pour élaborer des objets.

Cette position verticale leur a permis de voir le lointain, et en même temps de concevoir une extension du présent vers le devenir.

Et puis……..maintenant qu’ils envoient des objets explorer l’extraterrestre, ils rêvent d’aller encore plus loin, au-delà et plus loin encore.

Alors, notre Terre si belle, si précieuse, comme des amants infidèles, ils commencent de l’oublier.

Icare aussi rêvait de s’affranchir de sa dépendance à la gravité terrestre.

La sagesse des contes et légendes antiques, raconte la folie orgueilleuse de l’oubli de modestie.

Nous ne sommes pas interdits d’espérance, mais il faut le carcan du respect. 

Notre Terre ne supportera pas d’être uniquement une gigantesque poubelle. Certainement, et il est possible qu’elle sera l’origine d'évènements difficiles à vivre.

N’imaginez pas pouvoir agir comme des petits enfants qui cassent leurs jouets, en imaginant qu’ils seront remplacés.


Il y a très longtemps, notre histoire commença, n’oubliez pas de vous souvenir.


Https://www.youtube.com/watch?v=bX5zXfrZ3zY











samedi 8 janvier 2022

2022 : Le futur en parenthèse ; utilisez la métaphore du regard de l’aigle

 


                               Joska Soos: un univers en formation


Toutes les années 2000 concernent L’arcane 20 du Tarot : Le jugement.

2022 où l’arcane 22 s’additionne : 20 + 22 = 42 (4+2) = 6

L’arcane 6 du Tarot concerne le choix : deux possibles orientent la continuité.

Mais aussi (20 + 22) 42 = 6X7 = 21 (6) 28 (7) = 588 (5+8+8 ) = 21

L’arcane 21 du Taro concerne l’accomplissement, parfait équilibre, entre les circonstances dans ce monde, et vous.

2022 propose le privilège du choix, et vous n’aurez pas l’excuse de l’ignorance.

L’arcane 22 du Taro concerne le Fou qui transcende le raisonnable pour obéir à l’instinct. 

Et peut-être maintenant, dans cette obscurité épaisse du non possible inconnu, naviguer à l’instinct du possible pour retrouver du sens, dans les turbulences de la folie de ce Covid insaisissable, maitre de la mutation.

C’est ici que les chamans vous proposent d’utiliser votre troisième œil comme un Soleil au zénith.

Utilisez la métaphore du regard de l’aigle ; une position en élévation qui propose un repos.

Les deux hémisphères de votre cerveau s’unissent idéalement.

Midi solaire : sa culmination au zénith pose un silence entre l’élévation, et la chute.

Au sommet de l’amplitude du Soleil, l’extraordinaire aventure de l’esprit à son Zénith.

Le Chaman ouvre une parenthèse pour que votre propre perception, compréhension et action soient en tout point positives, et efficaces. 

Que cela s'accomplisse ainsi pour votre plus grand bien par l'Esprit de la Terre, par l'Esprit de l'Eau, du Feu, de l'Air ainsi que par le Son primordial qui anime toute chose.

Traversez le filet du Temps pour observer, mentalement, le Soleil à son zénith. 

Vos deux hémisphères cérébraux s’unissent idéalement, c’est le zénith.

Utilisez votre troisième œil ; contemplez la surface des choses avec un regard d’aigle.

La position en élévation pose un silence. 

Lèvres entre-ouvertes murmurez un écho du Son primordial : laissez agir la vibration du son ; elle anime un mouvement de vos mains. 

En même temps : contemplez ce Soleil à son zénith. Soyez comme au centre de votre sixième chakra ; ressentez l’équilibre entre le soleil de votre chakra, et ce Soleil. 

Mentalement votre sixième et votre septième chakra sont en triangulation avec un midi solaire. 

Devenez ce Soleil radiant à son zénith ; il se dilate ; il scintille jusqu’à devenir transparent, et puis se disperse en poudre d’or.

Contemplez le Temps dissoudre la vapeur d'un brouillard matinal réchauffé par le Soleil. 

Dans ce ciel plein des particules sphériques d’une lumière diffractée, votre vision des choses est tout autre : obtenez la sérénité inaltérable.