mercredi 13 juillet 2016

Nos enfants, premières victimes de la pollution : une gabegie de 155 milliards d’euros



Parkinson reconnue comme maladie professionnelle

En 2013, une revue des études publiées réalisée par l'Inserm avait conclu à une "présomption forte" de lien entre la fréquence de certaines maladies (lymphomes non-hodgkiniens, myélomes multiples, maladie de Parkinson) chez certains professionnels (agriculteurs ou fabricants) et la manipulation de pesticides. Depuis 2012, la maladie de Parkinson est même reconnue comme maladie professionnelle chez les agriculteurs.
http://sante.lefigaro.fr/actualite/2016/07/13/25200-polluants-chimiques-chercheurs-sinquietent-leur-utilisation-massive
Il est impossible aujourd'hui de passer une journée sans subir la pollution chimique des pesticides, des micro-particules d'aluminium, et autres perturbateurs endocriniens. L’industrie les utilise dans la fabrication du mobilier, pour faire briller des fruits, et dans la plupart des cosmétiques qui deviennent des toxiques sournois. Les femmes, les hommes et les enfants les absorbent par la peau en s'imaginant bien faire, et ils s'empoisonnent lentement mais irréversiblement. Environmental Health Perspective considère que 90% des femmes enceintes américaines sont victimes de 62 polluants chimiques qui s’incrustent dans leur organisme. Une infime minorité est testé pour vérifier les effets neurotoxiques chez l’enfant.
Les auteurs dénoncent les dépenses entrainées par l’utilisation massive et non contrôlée des polluants: «Pour un foyer, élever un enfant victime d'un trouble du développement coûte deux fois plus cher qu'élever un enfant non atteint. Pour la société, avec 1 dollar investi dans la réduction des taux de plomb par exemple, elle en économise entre 17 et 221.» Un constat identique en Europe : «chaque année, dans l'union européennes, les dépenses sanitaires liées aux composés organophosphorés et aux retardateurs de flamme sont estimées à 155 milliards d’euros ». Citation d’une étude parue en 2015 dans le The Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism.

C'est bon pour mon corps, c'est bon pour ma planète 


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